Résumé

Après Deadline et Veines Rouges, une nouvelle course contre la montre commence.

Paris est menacé par une crue sans précédent. C’est dans ce contexte alarmant que l’inspectrice Catherine Ambrose enquête sur la mort suspecte d’un cataphile. De son côté, Christian Novell rassemble des informations pour son prochain livre, une fiction basée sur l’inondation hypothétique de la ville.

Malheureusement, il pose les mauvaises questions aux mauvaises personnes. Cette montée des eaux n’est peut-être pas accidentelle. Les investigations de l’écrivain et de la policière vont finalement se croiser, et ils vont s’associer pour comprendre et déjouer un complot inédit. Qui voudrait noyer la capitale ? Comment ? Et surtout, dans quel but ?

Le romancier poissard et la flic obstinée sont de retour ! Trois ans après leur expédition au Brésil, Christian et Catherine se sont rapprochés, mais ils n’osent pas se lancer. Peut-être leur faut-il une autre aventure mortelle sortie d’un livre ? Ou plutôt, qui pourrait sortir d’un livre, si Christian avait eu le temps d’écrire le sien. On dit que les grands esprits se rencontrent. Or, l’écrivain ne va pas tarder à croiser une personne aussi imaginative que lui. Dommage qu’elle soit si machiavélique et dangereuse… Opération Deucalion est une enquête nerveuse digne de ses aînées, au concept aussi original que spectaculaire. Attention à ne pas perdre pied.

Acte 1 : infiltrations

Christian a son imagination qui déborde, sans mauvais jeu de mots.

Un nouveau roman pourrait engendrer de nouvelles catastrophes.

Que cache Samovar ?

Le lieutenant Ambrose est sur une affaire criminelle. Un cataphile aurait été tué par un professionnel.

 » Novell avait l’impression qu’un monstre était à sa poursuite, ses tentacules humides battant les murs pour essayer de le rattraper. « 

Acte 2 : la goutte de trop

Samovar risque tout.

 » Avec ce qu’elle transportait dans sa petite mallette, le monde allait bientôt subir un autre genre de raz-de-marée, plus dramatique que celui-là. « 

Les ennuis se multiplient. La mort plane.

Acte 3 : un poisson hors de l’eau

 » – Ça t’arrive d’avoir tort, des fois ? lui reprocha Catherine, le tirant de ses pensées maussades.
– Bien sûr ! Là, par exemple, j’ai eu tort de venir. « 

Un plan bien ficelé, dans le but de venger, pourrait causer la perte de nos protagonistes.

Notre duo se rapprocherait-il enfin ? J’ai hâte de découvrir leurs futures aventures. Cher Peter, stp, continue d’écrire ces belles aventures avec Christian et Catherine, car je les adore !

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