Bloody Truth — Sweet Pearl Girl

Résumé du Livre

AVERTISSEMENT DE CONTENU : Interdit aux moins de 18 ans. Ce livre est une DARK ROMANCE horrifique et sanglante ; il contient des scènes sexuelles explicites, violence physique et verbale, viols, horreur, cannibalisme, inceste, torture, ainsi que du langage familier voire grossier. La légende de Bloody Mary sera présente, âmes sensibles s’abstenir.
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Bloody Mary…
Oseriez-vous prononcer ce nom trois fois, face à un miroir, afin de voir apparaitre cette femme ensanglantée, prête aux pires horreurs pour vous emporter avec elle ?
Fille d’un homme puissant, Lexie n’a pas peur des défis lancés par ses anciens camarades du lycée, en pleine période d’Halloween. Mais ce qui semblait être un jeu jusqu’ici va se révéler plus vrai que nature, donnant ainsi vie à une légende urbaine sanglante.
Un esprit vengeur et des plus torturés va semer des cadavres sur son passage…

Mon Avis

 

Bloody Truth — Sweet Pearl Girl

Extrait : « Bloody Mary. Bloody Mary. Bloody Mary… » Oupsi, faite attention au miroir hu hu hu ! :p

Qui n’est pas curieux de revoir ses anciens camarades dix ans plus tard ? Moi, clairement je n’en suis pas plus fan, bien que les retrouvailles ne se passeraient sûrement pas comme dans le livre, ha ha ha !

Ce que j’ai le plus aimé dans cette histoire c’est le suspense qu’a créé l’auteure au point d’arriver à me faire douter sur le bon cheval d’une certaine façon. Bien que je n’étais pas dans le faux, j’avoue que plusieurs scènes m’ont permis d’y réfléchir encore.

Scénario intéressant, avec des descriptions sanglante et dégoûtante, mais qui est parfait pour le thème de l’histoire. J’aurais aimé un peu plus d’enrichissement dans le vocabulaire au vu de leur âge et de leur appartenance sur certain personnage. Mais en soi c’est juste pour titiller un peu par rapport à Halloween Shadow qui a été pour moi un coup de cœur général. Là j’avoue que bien que j’aime aimer le fil conducteur et le suspense, je tique un peu sur un certain personnage.

Une très bonne lecture à lire sans lumière et sans miroir de préférence ne s’est-on jamais, hu hu hu !